Les refuges d’altitude offrent gîte, couvert et réconfort aux alpinistes et randonneurs. Ce sont des îlots d’humanité dans la rudesse d’une nature magnifique, grâce à la présence de gardien.ne.s qui y vivent cinq mois de l’année. Quels sont les espaces sonores quotidiens de ces veilleurs des cimes à l’intérieur et à l’extérieur de leur havre perché ?
Quelques réponses ici. Ils/elles livrent leur perception intime et nous la font partager.
Avec les gardien.ne.s :
– Anne Debeaune – refuge des Drayères (2180 m) dans la vallée de la Clarée (05) – le 8/9/2017 in situ
– Boris Debeaune – refuge des Drayères (2180 m) dans la vallée de la Clarée (05) – le 8/9/2017 in situ
– Henry Brosse, dit Riton – refuge Laval (2010 m) dans la vallée de la Clarée (05) – le 8/9/2017 in situ
– Frédi Meignan – refuge du Promontoire (3092 m) dans le massif des Ecrins (38) – le 12/9/2017 à Grenoble (38).